Titre: Une grande qualité du Devoir : ses lecteurs
Le Devoir est mon journal depuis longtemps. J’apprécie la qualité de l’information et des opinions qui y sont exprimées en général. Mais il n’est pas à l’abri du sensationnalisme et du titrage tendancieux. Heureusement, le Devoir compte parmi ses lecteurs des gens de tout acabit, professeurs et autres gens de connaissance qui aident souvent à mieux comprendre les enjeux par leur retour. Je remercie le Devoir d’avoir l’humilité de permettre leurs répliques parfois très éclairantes.
L’histoire du taux de diplomation à l’école secondaire est un excellent exemple. La nouvelle du Devoir expliquait que le Québec était en retard sur le reste du pays, notamment exécrable pour la diplomation des garçons. Les faits semblaient indiscutables. Une autre petite honte nationale ressentie entre 2 gorgées de café le matin.
Il a fallu une réplique explicative de professeurs de l’Université de Montréal et de l’UQAM, le 17 mai, pour comprendre que les données de l’Institut du Québec pouvaient être interprétées tout à fait autrement. Si l’on considère le taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études sans égard à la durée, le Québec devient la meilleure province du Canada. Wow!
Nous vivons à une époque dont il est difficile de comprendre les enjeux de par la très grande quantité d’information disponible. Merci au Devoir et à ses lecteurs de me faciliter cette tâche.
Le Devoir est mon journal depuis longtemps. J’apprécie la qualité de l’information et des opinions qui y sont exprimées en général. Mais il n’est pas à l’abri du sensationnalisme et du titrage tendancieux. Heureusement, le Devoir compte parmi ses lecteurs des gens de tout acabit, professeurs et autres gens de connaissance qui aident souvent à mieux comprendre les enjeux par leur retour. Je remercie le Devoir d’avoir l’humilité de permettre leurs répliques parfois très éclairantes.
L’histoire du taux de diplomation à l’école secondaire est un excellent exemple. La nouvelle du Devoir expliquait que le Québec était en retard sur le reste du pays, notamment exécrable pour la diplomation des garçons. Les faits semblaient indiscutables. Une autre petite honte nationale ressentie entre 2 gorgées de café le matin.
Il a fallu une réplique explicative de professeurs de l’Université de Montréal et de l’UQAM, le 17 mai, pour comprendre que les données de l’Institut du Québec pouvaient être interprétées tout à fait autrement. Si l’on considère le taux d’obtention d’un diplôme de fin d’études sans égard à la durée, le Québec devient la meilleure province du Canada. Wow!
Nous vivons à une époque dont il est difficile de comprendre les enjeux de par la très grande quantité d’information disponible. Merci au Devoir et à ses lecteurs de me faciliter cette tâche.
Lévis
18 mai 2018
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